Piotr s’enfuit bientôt de la galerie, fuyant son propre vernissage, une déambulation nocturne commence. L’occasion d’une méditation sur le temps, sur la solitude des grandes villes, sur le visage aimé ; une méditation sur la redoutable quête du cœur amoureux. L’occasion que se relient par l’invisible fil d’argent les chansons de Rémi Constant, de bien anciennes et de toutes ... fraîches : dégustez un Choco-Cosmos dans la boulangerie aux étoiles de l’aéroport noir ; communiez à la tristesse d’un castor esseulé ; voyagez à bord du train de la longue insomnie ; prêtez l’oreille à l’étoile embaumée… Et achevez ce voyage nocturne plein des promesses que Piotr y a reçues. Ce qui caractérise ces chansons, c’est la tendresse, la loyauté d’un chien.. C’est aussi la capacité de retrouver, en un monde qui semble fort désenchanté, et sans jamais trafiquer le regard mais en l’ajustant, ce qui y demeure éternellement enchanteur.Lire plus Lire moins